Gym Online

Préambule

Bonjour, et bienvenu(s) sur mon blog.
Ce blog est dédié à ma perte de poids, sans chirurgie, et sans pilules amaigrissantes. Si je peux le faire, tout le monde peut le faire.
Pour les nouveaux / nouvelles, je vous conseille de lire les plus anciens messages en premier, afin de mieux comprendre l'évolution.


lundi 28 avril 2014

La salade, c'est pas (toujours) fade !

Salut, 

Aujourd'hui je vais vous parler de la salade. Enfin plutôt des salades composées.
Je tenais à faire cet article parce que, comme vous le savez, avant, j'étais hyperphage, ce qui sous entend que lors de crises, je n'avais qu'à ouvrir le frigo et je pouvais engloutir à peu près n'importe quoi et en quantités souvent équivalentes à un ou plusieurs repas.

En vrac, des trucs que j'ai pu faire dans le passé : 

- manger des restes de pizza froide à n'importe quelle heure, petit dej ou en-cas
- vider des restes de tupperware, réchauffés ou pas (oui en pleine crise d'hyperphagie, on a pas de temps à perdre, ton rôti est froid, pas grave... en fait on se rend même pas vraiment compte du goût des aliments, l'important étant d'avaler la chose).
- du pain avec plein de trucs tartiné dessus
- du chocolat par tablettes entières, parfois fondu au micro ondes
- des gâteaux 
- etc...

Tout ça pour vous rappeler, pour celles qui l'auraient oublié, que je n'ai jamais été, dans le passé, un modèle de nourriture saine.
Ceci dit, un truc que j'ai découvert lors de ma perte de poids, c'est les salades composées, et figurez vous qu'une salade, ça ressemble pas forcément à ça : 


(encore que, laitue/tomates, moi, j'aime bien, mais bon...)

Dites vous bien que manger une salade à midi, ce n'est pas une punition.
A titre personnel, la cantine du bureau est infecte, déplorable, affreuse, indigeste, utilisez le terme que vous souhaitez. Chaque repas est une torture.
La plupart du temps il s'agit de ragoûts aux couleurs étranges, baignant dans une huile rance (ça donne envie hein...), été comme hiver.
Les soupes sont en général agrémentées de morceaux de graisse sensées leur donner du goût, même si, à mon avis, un cube de bouillon soluble aurait très bien fait l'affaire...

Bref, parfois, et même quasiment tous les jours, je ramène mon déjeuner or, comme nous ne disposons pas de micro-ondes pour manger chaud, en général c'est soit sandwich (pain complet, crudités, portion raisonnable), soit salade.

Et figurez vous qu'une bonne salade composée, c'est quand même vachement plus excitant qu'un plat dégueu.

Tu préfères quoi toi ? 




Alors comment rendre vos salades appétissantes ? 



  • Ça coule de source, mais privilégiez les produits frais & de saison
  • Utilisez des ingrédients variés
  • Jouez sur les couleurs
  • Variez les assaisonnements
  • Utilisez du cru & du cuit 
  • N'utilisez pas toujours la même base au risque de vous lasser
  • Une salade ne contient pas UNIQUEMENT de la verdure, n'oubliez pas les protéines
Note : les conseils ci-dessus s'appliquent à l'alimentation en général, vous pouvez les utiliser aussi pour vos plats chauds. En bref : rendez vos repas palpitants !

Besoin d'idées pour varier ?

Les crudités  : laitue, tomates, concombres, carottes, maïs, avocat (alors ça, je tue surtout si c'est associé au suivant...), ananas (salade hawaïenne, ma préférée), pomme fruit, figue, endives crues, melon

Les cuidités refroidies : haricots verts, champignons, endives poêlées, patates

Les protéines : gruyère, ricotta, fêta, saumon fumé, saumon cru ou mi-cuit, aiguillettes de poulet, crevettes sautées, aiguillettes de canard (mais attention, pensez à dégraisser), anchois, thon, jambon ou jambon de parme, tofu poêlé, œuf dur ou mollet

 - désolée je vous propose beaucoup de produits de la mer, vous savez que je ne suis pas très très branchée viande... et puis la viande rouge dans de la salade, ça me semble un peu audacieux.- 

Les féculents : riz, pâtes, blé

Assaisonnements : huile + ail, basilic, huile d'olive, vinaigre balsamique, sésame, sauce soja, moutarde, raisins secs


Vous n'auriez pas imaginé autant de combinaisons possibles HEIN ?

Alors je réitère ma question :





Tu préfères quoi toi ? 





samedi 19 avril 2014

Expériences & Faim

Bonjour, 

Malgré mon silence apparent, durant 2 semaines, j'ai utilisé mon corps comme un cobaye (encore).

Durant ma semaine de vacances, les conditions s'y prêtant, je n'ai porté aucune attention à mon alimentation, pire, j'ai suivi mon mari dans ses habitudes peu équilibrées.

Durant ma semaine de retour, j'ai supprimé quasiment tout ajout de sucre à mon alimentation (saccharose, c'est à dire, pas de bonbons, pas de pâtisseries, douceurs, gâteaux ou chocolat), malgré que je prône incessamment que ces produits n'ont pas besoin d'être supprimés, afin de ne pas créer de frustration, je conseille d'ailleurs toujours de juste les consommer avec modération.

Ne pas reproduire cette expérience chez vous c'est j'ai passé 15 jours vraiment pas très sains pour l'organisme, néanmoins j'en ai tiré les conclusions suivantes : 

semaine "malbouffe"

Bon en fait, je n'ai pas exagéré tant que ça durant les repas, habitudes oblige. 
La plupart de mes repas étaient corrects au niveau portions et équilibre, présence de tous les groupes d'aliments, quantités raisonnées etc... par contre, je me suis autorisée plein de grignotages entre les repas, notamment du chocolat (acheté au duty free).

Conséquence : appétence au sucre, envie de grignotages incessants que ce soit vers des produits sucrés ou salés (grignoter du gruyère, des chips etc...)

Et +1.5 kilos sur la balance en une semaine.

semaine "diet"

Comme depuis 2011 j'ai perdu l'habitude de consommer plein de cochonneries entre les repas, la vitesse à laquelle mon corps s'est adapté à tous ces excès m'a vraiment surprise.
Parfois, je me sentais lourde, presque nauséeuse de bouffer du chocolat n'importe quand, mais je ressentais le besoin (et l'envie), d'aller piocher dedans.

Du coup, en rentrant, je me suis dit : hey oh, ça va pas dans ta tête ou quoi ? 

Et comme bien sûr à la maison, je n'ai rien de tout celà, je me suis dit : et si je passais une semaine sans aucun sucre rapide (excluant les fruits, je parle ici vraiment de saccharose, contenu dans les produits industriels ou les douceurs).

La conséquence ne s'est pas faite attendre :

Le premier jour j'étais de mauvaise humeur, dès que mon esprit était inoccupé, j'avais envie de chocolat (pour d'autres, ça serait peut-être des gâteaux ou des bonbons). Mon estomac gargouillait beaucoup, faut dire que j'étais vraiment focalisée sur l'idée du chocolat...
Bien sûr, je n'ai pas cédé.

Le deuxième jour, j'avais encore envie de chocolat, mais mon corps ne semblait pas me le réclamer avec la même intensité.
Je n'ai toujours consommé aucun aliment avec sucre ajouté.

Le 3e jour, non seulement je n'avais plus spécialement envie de chocolat, mais en plus je n'avais plus spécialement faim, j'ai donc décidé de pousser l'expérience plus loin, et me nourrir avec des portions ridiculement petites et peu nourrissantes pour voir si mon manque d'appétit provenait du trop plein de la semaine passée ou s'il s'agissait du résultat de la suppression de sucre dans mon alimentation.

J'ai donc survécu avec:
petit déjeuner : 30 gr de flocons d'avoine, 30gr de lait, 1 café
midi : un sandwich de 150g contenant tomate, jambon de dinde et tranche de fromage
soir : 1/2 tomate, 50 gr de broccolis sautés et quelques crevettes + 1h15 de fitness.

Somme toute des repas équilibrés, mais en portions riquiqui.
Je m'attendais à mourir de faim et me ruer sur du sucré, mais non.

Le 4e jour, au matin, j'étais tout aussi surprise de n'avoir pas spécialement faim vu ma journée frugale de la veille (je répète : n'adoptez PAS cette alimentation, j'ai poussé la restriction à l'extrême sur une période très courte, avec pour seul but de comprendre, par moi même, les effets du sucre).

J'ai donc repris le même petit déjeuner, complet, nutritif, mais pas très conséquent.
J'ai ramené une banane pour me faire un petit encas au travail, mais je n'ai pas ressenti le besoin de la manger. 

Le midi: encore un sandwich, le même que la veille, donc des aliments sains, mais qui n'en reste pas moins un repas trop léger (150gr ça fait pas énorme croyez moi).

Bien sûr, je fais mon sport l'après midi.

Le soir, j'ai mangé quelques champignons sautés et un yaourt 0%

J'avais des fraises au frigo, je me suis dit que j'allais en manger le soir, mais je n'ai pas ressenti la sensation de faim.

Le 5e jour : IDEM. Sauf que j'ai rajouté un verre de jus d'oranges le matin, parce que faire des expériences oui, détruire mon corps, en créant des carences, non.
Le soir, j'ai consommé une petite poignée de broccolis et une biscotte (les brocolis contiennent du fer, la biscotte des glucides complexes).

J'ai arrêté l'expérience parce que je ne pense pas que se nourrir ainsi soit un modèle à suivre, néanmoins, j'ai prouvé par A+B que se défaire de l'appétence au sucre modifie considérablement la sensation de faim au cours de la journée.
J'ai pu passer plusieurs jours à manger quasiment comme un enfant de 7 ans, sans avoir la moindre envie de grignoter.

-2 kg sur la balance le matin du 6e jour.

Bien sûr, ces exemples sont poussés à l'extrême, et j'ai continué à pratiquer du sport intensément pour "sauvegarder" mon métabolisme et ma masse musculaire, néanmoins cette expérience avait pour but de vous démontrer qu'aussi difficile que cela soit, celles qui sont sujettes aux grignotages intempestifs peuvent s'en défaire, mais en plus trouveront la suite de leur perte de poids beaucoup plus facile psychologiquement et physiquement.

mardi 15 avril 2014

Le 15 Avril

A l'heure où je vous écris, je suis sur le point de tomber dans un sommeil profond... au bureau.

Après une semaine de vacances, me voilà de retour à la routine, et pour bien commencer la semaine : déjeuner de travail... à 15 heures.

Comme je prends mon petit déjeuner à 7h moins dix le matin, je vous laisse imaginer dans quel état de décrépitude je me trouve, alors qu'il n'est que 13h05... surtout que je m'ennuie un peu au boulot aujourd'hui.

Or c'est bien connu, quand tu t'ennuies, la journée est d'une lenteur innommable.
Tout çà pour dire que quand on s'ennuie aussi, on a tendance à grignoter (moi, dieu merci, j'ai rien de comestible sous la main là tout de suite), donc, en règle générale, faites en sorte de vous occuper le corps et/ou les méninges !

Bon pour le côté sympa, le déjeuner s'annonce sympatoche, bien qu'à mon avis très bourratif et pas spécialement diététique, (dégustation avec je sais pas combien de plats), de ce fait, j'ai fait l'impasse sur l'encas du matin, histoire de : 1) avoir assez l'appétit pour déjeuner et 2) ne pas exploser le compteur de calories pour la jouréne, mais j'avoue que là tout de suite, je pourrai sniffer du sucre, juste pour me donner un coup de boost.